Saturne n’est pas réputée être une planète propice à l’héroïsme qu’on attribut plus volontiers à Mars et au Soleil. Pourtant, pour peu que des valeurs humaines fortes existent en parallèle dans un thème, Saturne fournit les qualités d’endurance, de fermeté morale et de persévérance indispensables à tout vrai héros. L’acte héroïque l’est en effet d’autant plus quand il s’étale dans le temps et avec Ernest Shackleton, un explorateur polaire du début du siècle, on atteint un stade proche de celui du surhomme. En effet, ce chef d’équipe hors norme va permettre à une poignée d’hommes malchanceux de survivre plus d’un an dans les conditions antarctiques les plus épouvantables. Nous allons donc étudier le caractère bien trempé de l’explorateur irlandais à travers son thème puis comparer les dates les plus saillantes de son périple et de sa biographie à travers son horoscope, en s’attachant à montrer que la figure natale de Grand Carré entre Saturne, les nœuds lunaires et Uranus signe ici un destin et un tempérament tout à fait extraordinaire.
Le point sur l’exploration au début du siècle
En ce début de siècle, les expéditions polaires sont en plein essor et cet engouement a fait naître une véritable concurrence entre les nations, dans la course pour la découverte des continents australes encore vierges. Par voie de conséquence, cette époque a vu fleurir une myriade d’explorateurs de toute nationalité, prêts à sacrifier leur vie pour fouler ces terres extrêmes et inhabitées.
En cette fin d’année 1911, c’est le Norvégien Roald Admudsen qui détient le record du premier homme à avoir atteint le pôle Sud. Le Royaume-Uni (avec trois expéditions vaines) ne veut pas être en reste et tient, lui aussi, à faire porter son drapeau à travers le continent Antarctique. Le pays est prêt à lancer une quatrième expédition et c’est dans ce contexte qu’Ernest Shackleton, celui qui deviendra bientôt un héros de légende parmi les explorateurs polaires, se présente pour relever le défi.
Ernest Shackleton ne souhaite pas seulement réussir au nom de la notoriété britannique : il prévoit également plusieurs travaux scientifiques à son expédition, tels que l’étude de la faune terrestre et marine, ainsi que des travaux de repérages géologiques et hydrographiques. D’autre part, nanti d’une extrême prévoyance, il a déjà prévu en détail, les droits de cession des documents écrits (livres et biographies) et visuels (photographies et vidéos), tirés de son expédition. Il ne le sait pas encore, mais la dimension spirituelle qu’il va donner à cette entreprise contribuera à faire de lui un héros et sa formidable volonté lui permettra d’en surmonter les terribles épreuves qui l’attendent.
Mais qui est Ernest Shackleton ?
Né le 15 février 1874 à Kilkea en Irlande, Ernest Henry Shackleton est le deuxième fils d’une famille qui compte huit filles et deux garçons. Son père est médecin, mais Ernest ne se destine pas à suivre les traces de son père. Il voue une passion pour la mer et abandonne ses études à l’âge se 16 ans pour entrer dans la marine marchande.
Le thème natal possède un amas en M I et en Verseau, composée des deux luminaires, tout deux étroitement conjoints à Saturne et à Vénus. De cet amas, c’est sans aucun doute, Saturne la dominante principale :
– Il est Maître d’Ascendant. – Il est conjoint à un luminaire en M I. – Il forme la base d’un Grand Carré avec les Nœuds Lunaires et Uranus.
Ce Grand Carré se situe en signes fixes, renforçant une tendance à l’obstination vers un seul et même objectif. De plus, les deux planètes concernées (Saturne et Uranus) relèvent d’énergies contradictoires, l’une exprimant la concentration, l’autre la libération. Comme nous l’avons dit, Saturne représente l’énergie première de cette configuration, son point de départ. Elle indique l’esprit tenace et la détermination du personnage. Allié à la Lune, elle prédispose peut-être à un certain utopisme dans les entreprises. Le premier Carré au Nœud Nord décuple cette énergie de volonté (Le Noeud Nord est en Taureau et en M III) : Ernest Shackleton n’est apparemment pas homme à se lancer dans une aventure en aveugle, sans précautions ni réflexion. La crise d’action engendrée par ce carré va pousser notre personnage à aller jusqu’au bout de lui-même et de ses convictions. Le second Carré, concernant le Nœud Nord et Uranus, indique que la destinée de l’homme se doit d’être travaillée par le biais probable d’évènements majeurs et imprévisibles. Uranus se trouve en Lion et en M VII, preuve que ce travail touchera son esprit de loyauté vis-à-vis de ses associations (les compagnons qui forment l’équipage). Uranus en opposition à Saturne révèle un travail de subtil équilibrage entre la notion de prévoyance des évènements qui habite Shackleton (Saturne) et la manière dont il va gérer l’imprévisibilité de son existence (Uranus). Il semble dans son cas, que sa manière d’anticiper tout ce qui pouvait l’être lui a laissé toutes les possibilités de se consacrer à ce qui ne l’était pas. Le Carré entre Uranus et le Nœud Sud (en Scorpion) indique une progression de l’existence tournée vers le besoin d’intensité, d’aller jusqu’au bout des choses, d’expérimenter les voies les plus secrètes et les plus dangereuses. Cette progression se fera au travers de grands voyages (la M IX). Le dernier Carré entre le Nœud Sud et Saturne renvoie à l’impulsion initiale de la configuration, le devoir de mémoire que l’on se doit de travailler. Dans le cas de Shackleton, il semble, là aussi, que cette énergie ait été assimilée au mieux, puisque cet homme ne s’est, à aucun moment, départit de son courage, sachant exploiter au maximum les valeurs Saturniennes.
Ernest Shackleton effectue plusieurs voyages en mer et obtient le grade de lieutenant à 24 ans. C’est un jeune homme au tempérament bouillonnant (Mars en domicile en Bélier) et doué d’une volonté hors du commun (Jupiter/Saturne/Pluton sont ses trois principales dominantes). Les notions d’amitié et d’équipe font partie des plus importantes à ses yeux (Uranus en Lion et en VII). De plus, c’est un travailleur acharné et ambitieux (dominante Saturnienne), résolument optimiste et faisant preuve d’un grand sens du dévouement : le salut de ses équipiers passe toujours avant ses intérêts personnels (Neptune en M III et Mercure en Poissons assorti d’un Jupiter culminant).
En 1901, il effectue sa première expédition dans l’Antarctique sous le commandement de Robert Falcon Scott, franchissant la latitude la plus australe jamais atteinte par l’homme (82°16 Sud).
En 1907, Ernest Shackleton monte sa propre expédition en tant que commandant (l’expédition Nimrod). On sent bien ici, la position de Saturne et du Soleil en M I. Il atteint, cette fois-ci, la latitude record de 88°23 Sud, mais se voit contraint de rebrousser chemin (à 180 km à peine du pôle Sud) par manque de vivres et de matériels. De retour à Londres, Ernest Shackleton est anobli par le roi, récompense suprême de son héroïsme. Ces exploits sont salués par tous, jalousés aussi par certains (Jupiter culminant conduit souvent aux honneurs, décorations et récompenses mais sa conjonction à la Lune noire entraîne ici en plus de nombreuses jalousies).
Mais, Shackleton, homme ambitieux, ne se satisfait plus de ce genre d’honneurs. Il est désormais habité par une soif d’absolu démesurée : autre sens de la conjonction culminante Jupiter/Lune noire en VIII qui pousse à découvrir, voyager, explorer, quel qu’en soit le prix. Il désire, plus que tout, contribuer à la découverte de ce dernier continent vierge, l’Antarctique, qui lui résiste. Sa volonté tenace le pousse à se mesurer, une fois de plus, avec cet inconnu et en 1919, à bord du trois mâts Endurance, (rebaptisé d’après la devise de sa famille « Fortitudine vincimus » : nous conquérons par l’endurance), il quitte le Royaume-Uni pourrejoindre Grytviken, capitale de la Géorgie du Sud et point de départ pour une nouvelle expédition vers l’Antarctique. Son unique objectif : atteindre, lui aussi, le pôle Sud. Ce voyage se révèle être l’un des plus périlleux dans l’histoire de l’exploration (Voir le récit de cette expédition ci-après).
Enfin, en 1922, lors d’une quatrième expédition en compagnie de Frank Wild, Ernest Shackleton qui souffre depuis plusieurs années déjà d’insuffisance cardiaque, décède en pleine nuit d’une crise cardiaque, la veille du départ de l’expédition pour l’Antarctique. Il a 47 ans.
Remarquons que, comme dit plus haut, Shackleton est devenu une légende dans le monde fermée des grands explorateurs. Nous constaterons au passage, comme il est explicité dans l’article Ces neptuniens qui deviennent des légendes que, comme les autres hommes et femmes devenus mythiques, le navigateur irlandais possède un aspect harmonieux entre Neptune et le soleil (ici un sextile exact).
L’expédition Endurance
Les évènements de ce voyage ont pu être relatés et datés par la tenue ininterrompue du journal de bord d’Ernest Shackleton, ainsi que par différentes photos et vidéos prises par les membres de l’équipage.
En rouge : le voyage de l’Endurance En jaune : la dérive du navire pris dans les glaces En vert : le chemin parcouru en tirant les baleinières sur la glace En bleu : la traversée de Shackleton pour rejoindre la Géorgie du Sud
Le 5 décembre 1914, l’expédition Endurance, composée de 27 hommes sous le commandement d’Ernest Shackleton, quitte Grytviken pour un voyage qui s’avèrera l’un des plus périlleux pour la vie de ses membres. Destination : le pôle Sud.
Au jour de ce départ, Uranus transite la conjonction Lune/Saturne en Maison I et en Verseau. Il est également opposé à lui-même et carré aux Nœuds Lunaires natals. Cet Uranus, charriant toute la puissance des impondérables est, comme on le voit, particulièrement agressif au jour du départ, jour qui peut être considéré comme « le thème de naissance » de l’excursion. D’autre part, Mercure T (Mercure concerne tout ce qui a trait aux déplacements) est en carré à la conjonction Soleil/Vénus tandis que Saturne/Pluton T forme un carré à Jupiter en M VIII. Cette dernière position est essentielle pour comprendre la mésaventure de l’irlandais puisque Jupiter est la planète culminante de son thème mais qu’il est aussi maître de XII (les grandes épreuves). Placée en VIII, elle semble tout indiquer à la fois une certaine chance dans les plus grandes épreuves mais aussi une nécessité de subir une sorte d’initiation dans la douleur.
Le 19 janvier 1915, l’Endurance se retrouve immobilisé, prisonnier par les glaces de la banquise. L’équipage et son navire se mettent à dériver lentement par le déplacement de la banquise, sans aucun moyen de contrôle sur leur destination.
« Le matin du 19, nous étions à la latitude 76°34’S, longitude 31°30’O. Malgré le beau temps, impossible d’avancer : pendant la nuit, la glace s’est resserrée autour du bateau et aucune eau libre n’apparaissait ».
Les Nœuds Lunaires T se trouvent exactement sur les cuspides des MM II et VIII. Le Nœud Nord est également conjoint à Jupiter T, au Soleil et à Vénus natals, le tout en Verseau. Relevez ici l’importance de Jupiter en transit qui va provoquer, par sa conjonction céleste au NN (destin) et sa superposition aux planètes vitales, ce qui est inscrit dans le Jupiter VIII natal dominant. Parallèlement, Mercure transite la conjonction Lune/Saturne et est opposé à Uranus, dans l’axe des MM I et VII.
Le 27 octobre 1915, Shackleton donne l’ordre d’abandonner le navire et de monter un camp de fortune sur la glace. En effet, le navire, broyé par la pression des glaces, craque de toute part et il devient dangereux de rester à son bord. L’équipage se presse de vider le navire de son matériel et de ses provisions avant que celui-ci ne sombre.
« Dans l’Endurance j’avais concentré ambitions, espoirs, désirs, et voilà que la carrière de notre pauvre bateau blessé et gémissant était finie, ses instants comptés ; il fallait l’abandonner, broyé, après deux cent quatre-vingt-un jours d’emprisonnement dans les glaces ».
Une conjonction Lune/Neptune se trouve en opposition à la conjonction natale Lune/Saturne. Pluton, quand à lui, est opposé à l’ASC. Jupiter T est en Sextile à Pluton natal : ce transit protecteur entre Jupiter et son maître sectoriel natal (Jupiter est en VIII) indique les possibilités de survie.
Le 21 novembre 1915, l’Endurance disparaît à jamais sous les flots. La situation qui jusque là, n’inquiétait pas outre mesure Ernest Shackleton, devient dramatique pour l’équipée.
Les Nœuds Lunaires T sont entrés en carré à eux-mêmes (indiquant toujours un cap majeur, souvent une épreuve, dans la vie d’une personne), tandis que Mercure T est lui aussi en carré à lui-même. Mars T est opposé à la conjonction Soleil/Vénus natale, sur la cuspide de la Maison VIII. Cet aspect semble des plus dangereux puisqu’il agresse avec une grande force les facteurs vitaux et montre que ces hommes vont devoir souffrir dans leurs chairs.
A l’aide de deux baleinières, transformées pour l’occasion en traîneaux de fortune qu’ils font glisser sur la banquise, l’équipe tente de se rapprocher de l’une des îles bordant l’Antarctique, et leur offrant à une meilleure possibilité de secours. Leur avancée est pénible et lente. A plusieurs reprises, ils sont contraints de stopper leur interminable progression : le froid, la peur continuelle d’une rupture de la glace sous leurs pieds, le rationnement de la nourriture : tous ces facteurs les affaiblissent peu à peu, physiquement et moralement. D’autre part, les baleinières sont lourdes à tirer et ils se retrouvent dans l’obligation d’abandonner la plupart de leur matériel, afin d’alléger leur charge. La nourriture commençant à manquer, l’équipage se voit acculé à tuer ses propres chiens pour se nourrir.
Précisons toutefois que pendant tout ce temps, le Mars de Shackleton transite sa maison VIII, ce qui lui permet sans doute de trouver « un second souffle », de puiser au plus profond de ses réserves vitales puisque Mars représente notre énergie et que la maison VIII, en analogie avec Pluton et le Scorpion, représente le secteur du dépassement personnel aboutissant soit à aller au-delà de soi…soit à mourir.
Le 14 avril 1916, ils atteignent l’île Eléphant. Ce lieu est inhospitalier et aride, constitué essentiellement de rochers et Shackleton comprend qu’il lui faut pousser encore plus en avant sa progression, pour sa survie et celle de ses hommes. La majorité des membres de son équipage sont dans un état physique et mental si déplorable que c’est seulement en compagnie des cinq plus vigoureux qu’il décide de quitter l’île pour rejoindre la Géorgie du Sud (distant de 1800 km), à bord de l’une des chaloupes, traînée sur la glace jusqu’alors. Il promet à ses compagnons, restant sur l’île, de revenir les chercher et de les ramener sains et saufs, parmi la civilisation. Ce voyage en chaloupe dans des eaux peu accueillantes est un nouveau défi pour Shackleton, devant sans cesse lutter contre les vents violents et les tempêtes maritimes de la région.
« À minuit, j’étais au gouvernail. Soudain, vers le sud, m’apparut une ligne claire dans le ciel. J’en prévins les autres ; puis, après un instant, je compris que la clarté en question n’était pas un reflet dans les nuages, mais la crête blanche d’une énorme vague ! Après vingt-six ans de navigation, je connaissais l’océan dans toutes ses humeurs, mais jamais je n’avais rencontré sur ma route une vague aussi gigantesque. C’était un puissant soulèvement qui n’avait rien de commun avec les hautes lames coiffées de blanc, nos ennemies inlassables ».
Mercure et le Soleil sont entrés en conjonction à Neptune natale en Maison III (cas d’école pour un périple sur l’eau). Par ailleurs, Neptune T est sextile à Jupiter et les Nœuds Lunaires T forment Sextile et Trigone à Mars natal, autant d’aspects qui protégeront le groupe de Shackleton.
C’est le 20 mai 1916, après un mois d’une traversée éprouvante, qu’ils arrivent enfin à Stromness, ville portuaire de Géorgie du Sud. Ceux qui les accueillent n’en reviennent pas : il y a plus de deux ans que l’expédition a quitté cette île et personne n’avait envisagé que ce retour puisse être encore possible.
Les Nœuds Lunaires T forment à présent, Sextile et Trigone à Jupiter (le Nœud Sud T est conjoint à Neptune T). La Lune est conjointe à l’ASC et Sextile à Mercure natal. Cela traduit la fin de l’épreuve.
La libération
Il faudra quatre tentatives à Ernest Shackleton pour réussir à retourner sur l’île Eléphant, afin de secourir son équipage. Il ne peut compter sur aucune aide de la part de la nation britannique. En effet, la première guerre mondiale vient d’éclater et le Royaume-Uni ne prête plus grand cas du sort de l’expédition Endurance, tombé dans la désuétude la plus totale ! Ses trois premières tentatives sont des échecs : en cette période de l’année, le temps est mauvais et la banquise s’est reformée, ne laissant aucune possibilité de repérage précis des lieux du sauvetage.
Ce n’est que le 30 août 1916, grâce à la collaboration d’un navire chilien, qu’Ernest Shackleton atteint enfin l’île Eléphant et récupère ses compagnons.
Un amas T s’est formé en M VII (Neptune, Saturne, Nœud Sud et Vénus indiquant un dépassement ultime) tandis que la Lune conjointe à Mercure transitent Jupiter natal. D’autre part, Jupiter T est en Sextile à Mercure, en Trigone à l’ASC et conjoint au Nœud Nord. Enfin, Neptune T en Maison VII est exactement opposé à la Lune natale.
A la lumière de cette étude astrologique, il semble incontestable qu’Ernest Shackleton, nanti de dominantes planétaires puissantes (Jupiter, Saturne et Pluton) liées de près à sa destinée (les Nœuds Lunaires), ne pouvait que laisser une trace de son passage dans l’histoire de l’exploration.
Notons que l’essence même de ce type de gloire est apparemment chère payé par son possesseur puisqu’elle s’accompagne de terribles épreuves au cours de la vie mais aussi, parce que très souvent, celle-ci se voit quelque peu, écourtée.
Il n’en demeure pas moins qu’Ernest Shackleton, explorateur de légende ayant marqué son époque, a su élever sa destinée au travers d’une voie différente, plus spirituelle. Il a, finalement, réussi ce que peu d’hommes sont capables : transformer sa volonté de réussite personnelle en une formidable dynamique à dimension collective.
Ainsi, Ernest Shackleton, l’homme de tous les défis « physiques », a relevé le plus important de tous : celui de l’élévation de l’esprit.
Il est probable qu’en lieu et place de sa sépulture (à la demande de son épouse, il fut enterré face à la mer, à Grytviken en Georgie du Sud), Ernest Shackleton continue de rêver à cette terre extrême, celle qui l’a conduit aux pires épreuves mais aussi au meilleur de lui-même.
La vie de cet aventurier a sans nul doute inspiré Ridley Scott pour sa série The Terror.
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je respect
Merci Edgar,
Ton message me touche plus que tu ne le crois. 😉 😉
Bravo Anne pour ce bel article !