Ce livre de Ferdinand David est une réflexion de fond sur les dix corps astrologiques de notre système. L’ouvrage se découpe en deux grandes parties : la première, théorique, traite en détail du symbolisme des luminaires et des planètes (observation, mythologie, religion, graphisme, symbolisme, place dans la suite planétaire et dans le zodiaque). La seconde partie, pratique, reprend chaque planètes en donnant une interprétation de sa position en signes puis en maisons.
En quelques mots
- Style : Étude théorique et pratique
- Nombre de page : 358
- Éditions : Éditions Bussière
- Année de parution : 1996
- Niveau : Tous niveaux
- Intérêt : 4/5
Le contenu
Introduction de l’auteur: La Vie, le Cosmos, l’Homme.
Partie I : le symbolisme des luminaires et des planètes.
-Le Soleil
-La lune
-ETC (Pluton inclus)
Partie II : Interprétation pratique
1/ Les planètes en signe
2/ Les planètes en maisons
Conclusions et annexes
– Divers schémas, tableaux et citations.
Citations marquantes
« L’astrologie conduit à une connaissance des hommes, c’est-à-dire à un juste discernement des lois universelles qui agissent en eux, et cette connaissance-là n’a pas de prix ; elle peut être appliquée tous les jours pour ouvrir, avec sagesse, les nombreuses portes que nous aimerions bien pouvoir franchir quand nous les rencontrons. »
Les plus et les moins (critique personnelle)
Un ouvrage clair, exhaustif qui réjouira les débutants par son ampleur et contentera les astrologues plus chevronnés en leur proposant une belle synthèse sur les planètes et leurs interprétations . On peut se demander pourquoi Ferdinand David n’est pas plus réputé dans la sphère astrologique car son travail est minutieux et sa vision de l’art des étoiles très humaniste. Toutefois, Il est vrai que David est un auteur fort classique qui n’apporte pas vraiment d’innovation et qui se contente, mais avec brio, de fédérer les connaissances indispensables à une bonne pratique astrologique. Signalons aussi qu’il fait partie des astrologues catholiques et que son interprétation des phénomènes ne peut s’empêcher de verser parfois dans la théologie sans pour autant faire preuve d’une quelconque volonté de prosélytisme. D’ailleurs, ces interprétations peuvent facilement s’adapter à tout autre forme de spiritualité.